Au terme d’un simulacre de négociation entre les organisations syndicales et les représentants d’Owens Illinois, le constat est sans appel.
- Aucune perspective de développement, aucun avenir sur le devenir de la VDL.
- Aucun avenir sur l’emploi (56 suppressions d’emplois dans le cadre des licenciements).
- Aucun document confirmant les dires d’Owens Illinois au délà de l’accord existant jusqu’en 2016. (il n’est pas impossible que cela soit plus restrictif).
Le refus catégorique de O-I de communiquer l’accord commercial avec Nestlé ( il faut les croire sur parole).
Notre expert dans le rôle de sa mission se voit refuser la majoritée des documents lui permettant de l’assurer correctement.
Le démentellement de la VDL orchestré entre O-I et Nestlé continu de plus belle. Les destructeurs d’emplois sont toujours là, associés à ce jour avec le géant américain O-I.
La signature d’un tel accord sur ces bases serait un suicide collectif ou nous serions les maîtres d’œuvres.
Les organisations syndicales ne ressentent, suite à ces discutions, que la volonté d’O-I de récupérer le marché de Perrier ainsi que d’autre produit Nestlé.
A ce jour adhérer à cet accord sur les bases proposées, serait tout simplement cautionner un plan social minimaliste qui déboucherait exclusivement sur des licenciements.
O-I a décidé de reprendre VDL en connivence avec Nestlé afin de programmer la mort de VDL.
Les uns comme les autres doivent prendre leurs responsabilités. Pour ce qui est de l’inter-syndicale la défense des salariés et du devenir de la VDL reste et restera notre priorité.